Le solitaire artificiel est aussi lourd dans ma main que les souvenirs du temps qui passe. Ses arêtes meurtrissent ma paume, écrasent mes phalanges et crispent les muscles endoloris de mon bras. En stase, le regard perdu dans les profondeurs du diamant taillé, je me souviens... D'Elyne et de Kenza . De Jahl, qui pour les avoir trop aimées s'était évertué à les détruire. De Jahl, surtout.




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